La ballade des pendus - François Villon -Poème
Frères humains qui après nous vivez N'ayez les cœurs contre nous endurciz, Car, ce pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tost de vous merciz. Vous nous voyez ci, attachés cinq, six Quant de la chair, que trop avons nourrie, Elle est piéca devorée...